3 mai 2019 à 20h, Mademoiselle Espérance, de Gilles Ascaride, mise en scène de Julien Asselin, au Karavan Théâtre à Chassieu (69)

Mademoiselle Espérance, pièce de Gilles Ascaride mise en scène par Julien Asselin, sera jouée le 3 mai 2019 à 20h au Karavan Théâtre à Chassieu (69).

Toutes les informations sont disponibles dans la page de l’événement sur le site du Théatre Karavan.

Ci-dessous, couverture de la représentation dans le magazine Chassieu Le MAG.

Mademoiselle Espérance, de Gilles Ascaride, au Karavan Théâtre à Chassieu, 3 mai 2019, article dans le magazine Chassieu Le MAG

Mademoiselle Espérance, de Gilles Ascaride, au Karavan Théâtre à Chassieu, 3 mai 2019, affiche

Vous pouvez découvrir ce spectacle au travers de sa bande-annonce :

Mademoiselle Espérance, pièce de Gilles Ascaride mise en scène par Julien Asselin, bande-annonce

…et retrouver toutes les informations et tous les liens le concernant dans la page du spectacle.

Samedi 4 mai 2019 à Châteauneuf-les-Martigues, lecture de « La malédiction de l’estrasse dorée (et autres histoires) » de et par Gilles Ascaride à15h, et Mademoiselle Espérance, pièce de Gilles Ascaride, à 20h30

Samedi 4 mai 2019, l’univers de Gilles Ascaride sera mis à l’honneur à Châteauneuf-les-Martigues, avec :

à 15h à l’auditorium du pôle culturel Jean-Claude Izzo, la lecture de La malédiction de l’estrasse dorée (et autres histoires), de et par Gilles Ascaride (entrée libre, renseignements 04 42 76 90 16, plus d’informations ici),

à 20h30 à la salle Léo-Lagrange, la représentation de Mademoiselle Espérance, pièce de Gilles Ascaride, mise en scène par Julien Asselin (tout public à partir de 8 ans, tarif : 8 €, gratuit pour les moins de 12 ans, renseignements 04 42 76 90 16, plus d’informations ici.

Ci-dessous article paru dans le n° 169 de la revue Vivre à Châteauneuf-les-Martigues à l’occasion de ces deux événements :

Gilles Ascaride, revue Vivre à Châteauneuf-les-Martigues à l'occasion de la journée du 4 mai 2019

17 avril 2019, « Conclave à Septèmes », le Festival d’Overlittérature 2019 annoncé par le journal Ventilo, n° 427

Conclave à Septèmes

Cinquième édition de la grand-messe de l’Overlittérature : c’est reparti pour trois jours de festin langagier et de truculence verbale !

Un festival pour les esgourdes : mots du cru, locutions locales, expressions d’ici et de là-bas, Marseillais d’hier et d’aujourd’hui. Avant tout, libre le verbe, au service d’une langue qui déploie ses ailes de toute l’envergure démesurée d’un gabian du centre-ville. Le port fier et le regard insolent trônant sur son tas de bordilles, ne craignant ni le greffier craignos du Cours Ju ni les vieux rats gras de Belsunce, encore moins le balai de sorcière de la voirie. Dégun !

Telle est l’Overlittérature souveraine et narquoise qui, du haut de la colline, perchée sur l’épaule droite de la Bonne Mère, observe la scène et, depuis Pétrone, rend compte sans vergogne du oaï ambiant.

Tous les deux ans, des quatre coins du monde, la diaspora converge pour faire bloc et date.

Tout ce qui fait l’Overlittérature, tous ceux qui l’aiment se retrouvent pour faire des étincelles et se réchauffer en bloc. Ils sont tous là, sans faute, les adorateurs du mot sans collier, de la phrase sans culotte. L’humble lecteur y côtoie l’Excessif souverain (Gilles Ascaride), il aperçoit même à l’occasion le Grand Pontife marmoréen (Henri-Frédéric Blanc).

Comme à l’accoutumée, tous les médiums de la tchatche sont convoqués : conférence-exposé, théâtre, chansons et ciné. Au menu cette année et particulièrement attendue, l’adaptation théâtrale de deux bouquins dont Ventilo, il y a peu, vous clamait les louanges : l’hilarant Merde à Shakespeare d’Henri-Frédéric Blanc interprété par Xal, et le grandiose Zoé de Gilles Ascaride, qui se chargera en personne de lui donner corps. Une attention spéciale également pour Quartiers Nord qui fêtera en concert les quarante ans passés depuis sa naissance, dans une poubelle à la Belle de Mai, à nous régaler d’un Overock 100 % local. Autre pépite en vue pour cette édition 2019, la lecture, illustrant la rituelle conférence ouvrant les festivités — consacrée cette année à Claude Klotz alias Patrick Cauvin —, sera confiée à Gilbert « Tonton » Donzel en personne, le stentor de la Martiale, rien que pour ça…

Voir l’article sur le journal Ventilo
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